8 MUMIA - OVERTURE- MERCANO, O MARCIANO, DE JUAN ANTIN

Mercano el Marciano (Mercano the Martian
75’ - Español - 2002
Direction: Juan Antin
Art and Animation: Ayar B
Script: Juan Antin, Lautaro Nuñez de Arco
paint and color: María Hellemeyer
Sound: Martín Litmanovich
Productor Executive: Mario Santos
Produzida pela Universidade del Cine

Mercan is a Martian who lived quietly on their planet, until one tragic day when a
spaceship, coming from the planet Earth with a message of peace, killed his dog. Mercan, furious, travels to our planet looking for revenge, however, two misfortunes happen:his ship was destroyed on landing and, most terrible, was just down in Argentina.

FESTIVALS:
Festival du Film d’Animation Annecy 2002, France (Special mention of Juri)

Animadrid 2004, Festival de la Imagen Animada, España (Best Film)

Sitges 2002 Festival Internacional de Cinema de Catalunya, España (Award of Públic)

Festival de Cine Inédito de Islantillas, España (Best feature of Animation)

Festival de Vitoria, España (Best feature of Animation)

Berlín Film Festival, Alemania (Competition Forum of New Cinema)

Festival Internacional de San Sebastián 2002, España (First features of animation)

Selected in numerous International Festivals: Tribeca Film Festival of New York (USA), Festival del Nuevo Cine Latinoamericano de La Habana (Cuba), Cinanima (Portugal), Anima 2003 (Belgium),Future Film Festival (Bologna, Italy), Los Angeles Latino Film Festival, Sarajevo Film Festival among others. Until then, Mercan the Martian made his debut in Argentina, Uruguay, Venezuela, France, Japan, Russia, Holland, Belgium, Luxembourg, Australia and Poland. Critically acclaimed for its international anti-globalization ideology and its artistic quality and technique.

CRITICS
"The most entertaining movie that Argentina has produced in recent times, has everything necessary to become a cult film."
Clarín (Argentina)

“An effective and instant humor , impredecible and politically incorrect”
El Independiente (Argentina)

Si l’altermondialisme surprend ici parce qu’intergalactique, c’est surtout la satire du chaos social argentin qui fait mouche.
Cahiers du Cinéma, França.

Un film d’animation très subversif qui, à travers les mésaventures de son héros, est une critique acide de la mondialisation.
Le Figaro, França.


«(...) Après South park, sur un mode trash/fun/nihiliste, Mercano le Martien, qui est aussi à l’origine une série télé, montre encore une fois que le cinéma d’animation favorise l’expression de la contestation la plus subversive. Le cinéma en images réelles ferait bien d’en prendre de la graine.» Les Inrockuptibles (France)

«Quelque part entre «South park» et le graffiti d’écolier, voici un dessin animé argentin particulièrement déjanté. » Le Nouvel Observateur (France)

«Au risque d’employer une métaphore facile, on dira que MERCANO LE MARTIEN
est un ovni comme il en apparaît régulièrement dans la production mondiale de films
d’animation. (...) Sous ses aspects potaches et drôles, MERCANO a même un petit côté
subversif, notamment dans la dénonciation de la mondialisation, du fossé entre riches et pauvres ou la place omniprésente de la technologie. Et tout cela le rend sympathique.”
MCinéma.com (France)

«Après avoir pris d’assaut le cinéma traditionnel, voici donc que la «nouvelle
vague» argentine se présente aux portes de l’animation.» Libération (France)

«Déclinaison d’une série télé, cette réponse de l’Amérique gaucho (de la pampa) à South Park mêle provocations et lucidité en transposant de façon drôle et saisissante la société
actuelle.» L’Humanité (France)

«Apocalyptique, gentiment provocateur, bricolé mais pleins de fougue, Mercano est un
pur produit de contre-culture comme vont l’adorer ceux qui aiment les bandes dessinées trash des années Crumb.»
Aden (France)

«Très rock’n roll, mordant et maîtrisé, le film se glose de sa propre trivialité avec une folie cartoonesque rarement égalée. Fauché comme les blés, grand guignol ricaneur et anarcho, son créateur Juan Antin est surtout un grand frondeur dont l’étonnante clairvoyance et la débrouillardise de bricoleur lui permettent de tenir efficacement son sujet. » Chronic’art.com (France)